mort et naissance
Ça parle de moi

Le jour où j’ai vraiment compris ce que je fais ici

Ce jour-là, il y a eu à la fois une mort et une naissance.

La mort

La mort de la Doris qui se pensait tellement petite et impuissante.

La mort de la Doris qui avait peur de tellement de choses.

La mort de cette petite humaine qui était dans une quête qui semblait sans fin… parce qu’elle ne savait même pas ce qu’elle cherchait, pourtant si frénétiquement. Probablement une porte de sortie de cette condition humaine tellement particulière. Probablement le salut, la paix, l’arrêt de la peur, l’arrêt de la souffrance, l’arrêt de l’incompréhension de ce monde qui tourne à l’envers.

Plein de gens s’en rendent compte mais personne ne sait vraiment quoi faire, parce que l’ego s’en mêle. Parce que tout seul on n’est rien. Tout seul on ne va nul part.

La naissance

Cette naissance à la vie.

A ses risques, à sa fatigue et à ses difficultés aussi, mais ça fait partie du pack, alors c’est pas grave.

Cette naissance à cette partie de moi qui ne veut plus négocier avec ses valeurs hautes : le bien commun, le vivant, le bon, le bien, l’amour. C’est pas parce que j’ai vu ces valeurs hautes être piétinées, humiliées ou brandies pour de mauvaises raisons, et ça des milliers de fois, que je ne peux pas aujourd’hui élever ma voix ou prendre mon clavier pour leur redonner l’importance qu’elles revêtent pour moi. Enfin.

Cette naissance à cette partie de moi qui peut s’abandonner dans la confiance et qui n’a plus besoin de ses doutes.

Cette naissance à cette Doris qui assume de faire ce qu’elle est venue faire et qui décide de l’incarner pleinement : contribuer au changement de paradigme sur la Terre, avec mes outils et mes aspirations personnelles.

Depuis ce jour-là

Ce jour-là, il y a eu un rebranchement à intérieur de moi, au plus profond de moi-même. Une partie dont je ne me doutais même pas de l’existence.

Depuis, je sais. Et même s’il y a quelque chose que je ne sais pas, alors je sais que ce n’est pas grave parce qu’au fond, je sais que je sais seulement ce qu’il est important que je sache.

C’est pas là-haut qu’il faut chercher des réponses. C’est à l’intérieur. Dans cet partie. En-dessous de toutes les couches qu’on nous a mises et de toutes les couches qu’on s’est mises tout seul.

Le jour où j’ai vraiment compris ce que je faisais ici, c’est le jour où j’ai profondément senti que je n’étais pas seule.

Et que je n’étais pas là par hasard.

Et que oui, j’étais bien venue pour quelque chose.

Et que oui, j’étais guidée pour ça.

A chaque moment de ma vie si je le veux bien.

Je suis Doris, coach et formatrice. J'aide les gens à guérir leurs blessures invisibles pour qu'ils puissent être pleinement heureux.