À propos

Qui je suis ?

Doris Allard qui je suis

Je m’appelle Doris, j’ai 37 ans (plus exactement 36 au moment où j’écris ces mots, mais plus pour longtemps alors j’anticipe un peu…)

Ce qui m’anime profondément, c’est faire apparaître la beauté et l’harmonie dans la vie, dans le monde. Que ce soit pour les choses, les gens, les paysages, les maisons, etc.

Pendant la première partie de ma vie, j’ai eu la sensation d’être étrangère à ce monde, de ne pas le comprendre, de ne pas comprendre pourquoi les gens font ce qu’ils font. Je voyais bien que les gens n’étaient pas heureux autour de moi. Et même qu’ils faisaient des choses qui les rendaient malheureux. Et je ne comprenais pas.

Alors, j’étais en adaptation constante à mon environnement. Pour essayer de rendre les gens heureux, pour mettre un peu de cette harmonie qui fait tant défaut dans ce monde.

Arrivée à l’âge adulte, Je me suis lancée dans une quête, un peu frénétique on peut le dire : de réponses, de compréhension, d’acceptation, de bonheur, d’amour, de paix, puis de joie.

Sauf que, prise dans cette quête, j’en ai oublié de vivre ma vie.

En même temps, je ne pouvais pas réellement vivre pleinement dans cet état d’incompréhension du monde tel qu’il est, qui a entrainé chez moi une forme de rejet de ce monde, et de colère avec le temps.

Sur ce chemin, pendant cette quête, j’ai entamé mon processus de transformation intérieure. De guérison de mes blessures. Faire la paix avec moi-même, réintégrer mes parties blessées, leur faire reprendre goût à la vie. Pour faire la paix avec le monde.

Et sortir de la quête. Pour vivre ma vie, enfin.

Ce en quoi je crois profondément

Nous sommes sur Terre pour expérimenter. Pour faire cette expérience particulière, de la matière et de la séparation de notre nature véritable et originelle.

Le contexte est quand même difficile, il faut le dire : nous sommes coupés de l’amour divin car nous nous croyons seuls, petits et perdus. Ce sont les conditions actuelles de cette expérience terrestre, si particulière.

Et donc nous souffrons d’un énorme manque d’amour. Mais c’est en réalité juste une sensation. Car cet amour est toujours là et l’a toujours été.

Il attend juste que nous prenions conscience que cette sensation de séparation est simplement une illusion, un rêve dans lequel nous sommes plongés. Et que nous revenions à ce que nous sommes : cette source illimitée d’amour infini.

Qui j'aide ?

Tout ceux qui ont envie d’aller mieux, et soyons fous, même d’être heureux.

Ceux qui ont envie de grandir. De comprendre. De se lâcher de la grappe. Et puis de vivre. Surtout.

Comment j’aide les gens ?

Globalement, mon travail c’est de permettre aux gens de mettre de plus en plus de conscience sur ce qu’il se passe dans le subtil, à l’intérieur d’eux.

En tant qu’humain, si nous voulons jouir de plus en plus de “c’est quoi être un humain qui suit naturellement ses élans de vie”, il y a besoin de se libérer de nos mécanismes (la plupart du temps inconscients) qui entravent notre possibilité de :

1. nous mettre en contact avec nos élans
2. de les laisser s’exprimer naturellement (sans efforts).

Pour s’en libérer, de ces mécanismes, il faut apprendre a les observer pour les désamorcer.

Et ce, petit à petit, les uns après les autres.

Donc j’aide les gens dans cette mécanique-là : d’observation – de soi et de ses mécanismes – et de désamorçage.

Je travaille selon deux axes principaux :

  • La guérison des blessures profondes : nous avons des failles qui, tant qu’elles ne sont pas vues et conscientisées, puis guéries, impactent quasi systématiquement notre comportement, de manière automatique et inconsciente. On n’a pas accès à une partie de nous-mêmes, et c’est souvent lié à l’enfant intérieur, très spontané. Guérir ses blessures profondes permet de retrouver goût à la vie, retrouver confiance en soi et en ses capacités, retrouver de la spontanéité dans la réalisation de ses envies. Ces parties que l’on retrouve ont beaucoup moins de jugements et d’idées préconçues sur la vie et le monde. Nous pouvons nous sentir beaucoup plus libre. Cet aspect-là demande d’être prêt à aller regarder ses blessures profondes. Que ce soit le bon moment.
  • La rééducation du système de croyances et de pensées : notre système de croyances et de pensées nous limite énormément, sans que nous nous en rendions compte. C’est une autre forme de limitation que les blessures profondes : il existe car nous l’avons construit en le copiant sur celui des personnes que nous côtoyons. Il est lié à la société, à l’histoire, et à notre famille (nos ancêtres et notre famille proche). Il nous entrave tout autant car crée une distortion de la réalité. C’est comme un écran, un nuage de fumée entre la réalité et nous. Nous pouvons nous en défaire, petit à petit, par l’observation de sa présence, sa conscientisation. Cet aspect-là demande de l’implication au quotidien.

Ces deux axes sont deux choses qui nous séparent de notre véritable nature : qui nous empêchent d’avoir accès à qui nous sommes profondément et simplement.

Mon parcours

J’ai un parcours très diversifié et plein de rebondissements !

Comme je te le disais un peu plus haut, j’ai cherché des réponses un peu partout ^^

J’ai étudié à l’Université de Technologie de Compiègne (UTC) de 2005 à 2010 et j’ai un diplôme d’ingénieur en procédés industriels, spécialité Qualité, Sécurité en Environnement.

Mon diplôme en poche, j’ai travaillé 2 ans à la Défense, dans le milieu très sérieux des projets de développement énergétiques, pour deux grands noms de l’industrie. C’était pas les années les plus fun de ma vie. Mais c’était un passage…

J’en pouvais plus du béton et des costumes, alors je me suis reconvertie dans le paysagisme. Mettre les mains dans la terre, cotoyer les plantes… Et j’ai eu la chance de travailler deux ans en tant qu’apprentie au service Espaces verts du Département des Yvelines et de cotoyer une super équipe. Au Domaine de Madame Elisabeth à Versailles, un écrin de verdure préservé en plein coeur la ville. 

Pendant mon BTS, je découvre la permaculture. Enfin du bon sens quelque part ! Je décide de me former, je fais mon PDC (Permaculture Design Course – ou Cours certifié de design en permaculture) chez Permaculture Design, avec Benjamin Broustey, en Haute-Vienne. C’est une de mes premières expériences humaines d’une richesse incroyable. Ce souvenir restera gravé dans ma mémoire toute ma vie.

Avec mon compagnon, on décide de construire une Tiny House. C’est le début du mouvement Tiny en France. Comme à cette époque-là, nous sommes dans une démarche de recherche de sens et de décroissance quelque part, pend se lance dans cette aventure. On fait nous-même nos plans, on fait construire notre remorque sur mesure. Et à part la charpente et la pose de fenêtre, nous faisons tout le reste nous-même. En pointillés car notre fils ainé est né entre temps. Ça nous prendra environ un an au total. Au final, nous vivrons seulement 8 mois dedans, avant de la déconstruire quelques années plus tard.

Avec tout ce que tu as lu précédemment, tu as peut-être compris que j’étais un peu écolo sur les bords à cette époque ! En tout cas je cherchais à me rapprocher de la nature, à être dans une démarche de consommation raisonnée, pour limiter mon empreinte sur la nature et la planète. Et dans cette démarche-là, j’ai eu l’opportunité de faire de la vente à domicile pour les produits H2O at Home, qui sont des produits d’entretien naturels et très efficaces. J’ai fait ça un an et demi et j’ai beaucoup aimé la dimension de contact humain de cette activité : avec les autres VDI du secteur et avec les clientes ! C’était une chouette expérience. Et bien évidemment, j’ai toujours des produits H2O chez moi aujourd’hui car ils sont vraiment top.

J’ai fait un petit détour par une biocoop pendant quelques mois. C’était cool de faire l’expérience du commerce. Et j’y ai vraiment rencontré plein de monde.

En 2017, j’ai découvert la Méta®. C’est une méthode de connaissance de soi basée sur le vêtement, et qui fait des ponts entre  l’énergie du vêtement et la personnalité. C’était tellement passionnant à mes yeux que très rapidement, j’ai décidé de me former à la méthode, pour l’approfondir et en faire un métier. C’est à ce moment-là que j’ai ouvert la porte du monde de l’accompagnement, du développement personnel, de la connaissance de soi. Ma vie a vraiment pris un tournant cette année-là.

Je ne me suis pas contentée du Niveau 1, j’ai suivi aussi le Niveau 2, qui visait à transmettre comment accompagner avec la Méta®.

Tant qu’à tomber dans la marmite de l’accompagnement, autant le faire bien ! Cette même année, je me suis formée au coaching, au côté de Lynne Burney dans sa LKB school of coaching. Lynne est la co-fondatrice de la SFC (Société Française de Coaching). Apprendre à ses côtés est un privilège et une grande source d’inspiration.

J’ai intégré l’équipe de Flora Douville – la créatrice de la Méta® et fondatrice de Meta Wonderland, l’école de la singularité – courant 2019, et en 2020 j’ai pris le rôle de Responsable pédagogique : j’avais la responsabilité des programmes et des formations, de leur contenu et de leur animation. Grosses responsabilités que j’ai pris pendant 4 ans. Le temps de travailler avec une super équipe et des super clientes. Puis ma bougeotte a décidé de m’emmener autre part.

En cette fin d’année 2022, j’ai décidé de me lancer en tant que coach indépendante. C’est là que j’ai vraiment commencé à développer mon clair-ressenti et que j’ai pu commencer à comprendre comment j’aide réellement les gens, et comment grâce à ça, je permets aux gens de guérir d’anciennes blessures profondes de l’enfance.

En ce début 2024, j’ai décidé de mettre l’accent sur la transmission. Même si je fais des vidéos sur ma chaîne depuis 2 ans maintenant, je sens qu’elle va repartir avec un nouveau souffle et une nouvelle direction, beaucoup plus claire et efficace.

Ce début 2024 marque aussi pour moi quelque chose de fort : créer dans la matière mon propre univers, qui sera une boutique de décoration. Pour aider les gens à mettre du beau dans leur vie, mais aussi à se reconnecter à leur sensibilité et à leur enfant intérieur, par le biais des beaux objets.

Aujourd’hui, j’aspire surtout à transmettre tout ce que j’ai compris pour aider les autres sur leur propre chemin de guérison et de retour à eux-mêmes.

Et bien-sur, j’aspire aussi à vivre ma vie !

Mes spécificités en accompagnement

De mon humble compréhension des fonctionnements humains, le processus pour trouver enfin qui nous sommes et pouvoir vivre notre vie à partir de nos élans naturels, il comprend 3 axes. Et ce sont ces 3 axes la base de mon travail :

  • guérison des blessures
  • apprendre à s’observer pour connaitre son ego et sortir de ses schémas emprisonnants
  • retrouver la part de divin en soi et recréer le lien avec elle.

Ensuite, je m’adapte à chacun, en fonction d’où il en est dans son processus et de ce qui a besoin d’être vu ou fait ou libéré à l’instant t.

Quels sont mes atouts personnels ?

  • La prise en considération de là où en est chaque personne dans sa quête / son chemin d’évolution : je m’adapte vraiment à chacun·e.
  • Beaucoup de douceur et de présence, pour permettre d’aller voir les gros sujets en toute confiance.
  • Pas de complaisance envers l’ego qui barre la route vers le bonheur, mais toujours avec respect et considération.
  • Mon clair ressenti que j’ai développé : c’est ce qui me permet d’entendre ce qu’il y a derrière les mots. Qui s’exprime réellement quand une personne parle ? Quelle partie d’elle-même ? De quoi a besoin cette partie pour que la personne puisse retrouver sa stabilité d’être ? Voilà des exemples de ce que mon clair-ressenti me donne comme information et que je peux remettre à la disposition de chacun·e. Cela permet d’identifier les blessures qui ont besoin d’être guéries pour retrouver une relation de plus en plus apaisée avec soi-même et avec l’extérieur.
  • Ma connaissance affinée de l’ego et de ses mécanismes.
  • Ma connexion au tout et à la source d’amour universel, qui fait qu’en séance, je suis à l’écoute pour recevoir les bonnes infos pour chaque personne : quelle information a besoin d’être entendue ? qu’est-ce qui a besoin d’être fait ? quelle question a besoin d’être posée ? etc.

C’est pour ça que je suis multi-casquettes – ou multi-postures – et que j’alterne entre coach, formatrice et thérapeute :

  • En posture de thérapeute : j’accompagne mes client·e·s pour aller voir en eux des parts blessées bien enfouies qui mettent le bazar dans leur vie. Ensemble, on les remet sur pied, ces parts. Ma douceur et la stabilité que j’ai développée au fil du temps permettent d’aller voir les gros sujets, de les apaiser pour qu’ils soient réintégrés tranquillement dans la personnalité.
  • En posture de formatrice : je transmets pédagogiquement comment comprendre et mieux observer ses propres fonctionnements automatiques inconscients et de l’ego pour reprendre du pouvoir dessus, et devenir de plus en plus autonome dans ce processus.
  • Et le coach : c’est celui qui permet à la personne accompagnée de faire émerger pour elle-même ce qui est important pour elle, afin d’être maître de sa propre vie et bien sur la voie du bonheur ! C’est quand même vachement important aussi, non ?

Je mets de ces 3 postures dans chacun de mes accompagnements, petits ou grands, long ou court, et de façon personnalisée avec chacun·e, en fonction de ses besoins du moment.